décembre 11, 2023

Bienvenue à Pari Johnston, la nouvelle présidente-directrice générale de CICan

Résumé de l'épisode

Dans cette nouvelle édition du balado de CICan, nous accueillons et présentons notre nouvelle présidente-directrice générale, Pari Johnston. La spontanéité et le charisme de Pari donnent le ton à cette conversation dynamique. Elle nous fait découvrir son parcours personnel et professionnel, ainsi que sa marque de fabrique professionnelle qui est d’avoir un impact sur l’écosystème des compétences, de la recherche et de l’innovation au Canada. Pari évoque également sa vision de l’avenir du réseau des collèges et instituts du Canada et se montre enthousiaste à l’idée de prendre les rênes du plus grand réseau d’enseignement postsecondaire du pays. Et, bien sûr, nous ne pouvions pas laisser passer l’occasion de la mettre sur la sellette pour une série de questions en rafale. Ne ratez pas cette occasion unique de faire connaissance avec la 8e présidente-directrice générale de CICan et deuxième femme à occuper ce poste.

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Amélie Cantin : 

Bonjour à toutes et à tous et, bienvenu ! 

Je me présente : Amélie Cantin, spécialiste en gouvernance et planification pour Collèges et instituts Canada. CICan (notre nom abrégé) défend les intérêts, accroît les capacités et fait avancer le savoir de manière à renforcer les collèges, instituts, cégeps et les écoles polytechniques publics du Canada. Nous sommes le plus vaste réseau de l’enseignement postsecondaire au pays.

Nous avons aujourd’hui l’honneur de nous entretenir avec notre nouvelle présidente-directrice générale, Pari Johnston.

Pari nous joint avec une expérience des plus riches. Elle a passé 25 ans à faire évoluer l’écosystème canadien des compétences, de la recherche et de l’innovation.  

Avant de se joindre à nous, elle a occupé le poste de vice-présidente des Politiques et des Affaires publiques à Génome Canada. Pari est une cheffe de file en matière de stratégie, elle crée des alliances et plaide en faveur d’impacts intersectoriels. Son influence s’étend aux parlementaires, aux hauts fonctionnaires, aux responsables de l’industrie, aux partenaires communautaires et, bien sûr, à VOUS, le grand public. Son parcours professionnel est marqué par un passage notable de deux décennies au sein d’Universités Canada. Elle y gravit les échelons jusqu’au poste de vice-présidente, Politique et Affaires publiques.

Mais ça ne s’arrête pas là.

En dehors de ses obligations professionnelles, Pari est une militante dévouée à la cause communautaire. Elle siège au Conseil d’administration du Royal, le principal hôpital de soins, d’enseignement et de recherche en santé mentale au Canada. Forte de sa propre expérience, elle a également fondé Le logement dans l’optique de l’autisme, un organisme destiné à trouver des solutions aux problèmes de logement pour les jeunes adultes autistes à Ottawa.

Enfin, Pari a joué un rôle crucial en tant que membre du tout premier Conseil d’administration de l’organisation nationale des médias numériques pour le journalisme universitaire, La Conversation Canada.

Aujourd’hui, nous allons lever le voile sur la personne qui se cache derrière ce CV impressionnant. Nous évoquerons le passé de Pari, son parcours et sa vision d’avenir pour le réseau des collèges et instituts du Canada.

Sans plus tarder, voici maintenant Pari Johnston, la 8e présidente-directrice générale de CICan. 

 

Amélie Cantin : 

Pari, comme je l’ai déjà dit, vous apportez à l’association une vaste gamme d’expériences et de perspectives uniques. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours professionnel et sur ce qui vous a amené à faire carrière dans l’écosystème des compétences, de la recherche et de l’innovation? 

 

Pari Johnston :  

Merci tout d’abord pour l’invitation. C’est vraiment un plaisir pour moi de participer aujourd’hui. C’est une super bonne question. Quel est mon parcours qui m’a mené jusqu’à CICan ? Tout d’abord, j’aimerais dire que je suis une fille très fière de venir de la Saskatchewan où j’ai fait mes études dans la littérature française. Je suis venue à Ottawa pour continuer mes études supérieures en affaires internationales. Et, ce parcours académique m’a amené à Universités Canada, ici à Ottawa. C’est là où j’ai passé 22 ans de ma carrière en apprenant toutes les dimensions du système postsecondaire ici au Canada.

J’ai passé plusieurs années à Universités Canada en dirigeant les relations internationales et c’était vraiment une grande passion pour moi de promouvoir les universités à l’extérieur, avec nos partenaires en Europe, en Afrique, en Asie, etc. Et de promouvoir l’importance de la mobilité des étudiants canadiens et aussi d’accueillir et d’attirer les étudiants internationaux au Canada. Ils apportent beaucoup de force à notre économie et à notre société.

J’ai passé beaucoup de temps au début de ma carrière en apprenant pourquoi il était si important pour nous d’avoir des relations internationales avec nos partenaires académiques à l’extérieur. Et, après beaucoup d’années dans les divisions internationales, ils m’ont demandé si je voulais devenir la première directrice des relations des membres d’Universités Canada. J’ai dit oui, parce que, en fin de la journée, de soutenir nos membres, c’est la raison d’être d’une association comme Universités Canada et CICan.

J‘ai eu l’occasion de vraiment créer un programme de services et d’ateliers des ressources pour mieux servir nos membres qui étaient les recteurs et rectrices des universités canadiennes. Je suis si contente d’avoir cette occasion de soutenir l’équipe ici au CICan, qui est un excellent exemple de services aux membres.

J’été la vice-présidente de la politique et les affaires publique d’Universités Canada jusqu’à 2019. Pendant ces années, surtout de 2015 à 2019, j’été une des porte-paroles à la Colline à Ottawa pour parler de pourquoi c’était si important d’investir dans la recherche universitaire, l’innovation et le talent pour vraiment renforcer le futur du Canada. Donc, je connais bien le système et pendant toutes ces journées, j’ai beaucoup travaillé avec les collèges et avec CICan, comme partenaires. Mais j’ai hâte de connaître mieux les forces et tous les aspects dynamiques et innovateurs du système collégial.

Depuis 2020, j’ai travaillé à Génome Canada dans le même rôle de vice-présidente des politiques et des affaires publiques pour promouvoir l’importance de l’investissement dans les sciences transformatrice pour le Canada, pour le monde dans la santé, mais aussi pour l’agriculture, pour les ressources naturelles, etc. J’ai commencé en mars 2020 jusqu’au début de la pandémie globale de Covid. La génomique a joué un rôle clé pendant la pandémie et c’était moi qui faisais partie de l’équipe chargée de convaincre le gouvernement d’investir dans la génomique pour surveiller l’évolution du virus. On a réussi à avoir un investissement dans ce qu’on a appelé The Canadian COVID-19 Genomics Network (CanCOGeN). Et c’était vraiment l’occasion pour moi d’apprendre l’importance de l’investissement dans des sciences au service d’une mission, qu’on peut avoir des grands défis auxquels la science et toutes nos capacités peuvent être ramassées pour vraiment avoir un impact. Donc, je connais bien l’écosystème de l’innovation et la recherche et j’espère que je peux apporter tout ça à mon nouveau rôle ici au CICan. 

 

Amélie Cantin :  

Mais oui, tu nous arrives avec une panoplie d’expériences super pertinentes pour notre domaine. Donc, dans le même ordre d’idée, tu l’as fait mention un petit peu, quels sont les aspects de notre mission qui vous interpellent le plus ? 

 

Pari Johnston:  

C’est une super bonne question. Il y en a 3. Tout d’abord, c’est vraiment la mission de renforcer les communautés. D’avoir des communautés forts et sains de côte à côte à côte. C’est vraiment important pour moi. C’est ça qui m’a attiré. Le réseau de CICan est partout dans le Canada et au Nord aussi, et dans les communautés ruraux, urbains, etc. Donc cette diversité m’attirait beaucoup. J’ai hâte d’être sur les campus de nos membres pour mieux apprendre ce qu’ils font et leurs liens avec les communautés.

Deuxièmement, je pense que, surtout avec les tendances des pays comme le Canada et d’autres pays de l’OCDE, les stratégies industrielles deviennent de plus en plus importantes. Je pense que nos membres peuvent vraiment apporter des solutions à ces stratégies.

Je suis aussi très reconnaissant aussi des liens que nos membres entretiennent avec les communautés autochtones : Les Premières Nations, Métis et Inuits. Je viens de voir un de nos membres hier, Northlands College, où 98 % des étudiants autochtones proviennent des communautés des Premières Nations. Pour moi, c’est vraiment inspirant et important qu’on continue de renforcer la responsabilité et la capacité des collèges afin de servir le projet national de la réconciliation. 

 

Amélie Cantin : 

Oui ! Nos membres font beaucoup de belles choses et des endroits très spéciaux au Canada, si je peux me permettre. Au-delà de vos responsabilités professionnelles, vous êtes activement impliquée et dévouée à la cause communautaire. Vous êtes par exemple membre du Conseil d’administration du Royal et avez fondé Le logement dans l’optique de l’autisme. Comment ces expériences influencent-elles votre vision de l’enseignement postsecondaire et de l’implication au sein de la communauté ? 

 

Pari Johnston :  

C’est une question très importante pour moi parce que je suis passionné par le service communautaire. C’est quelque chose qu’était toujours dans ma vie, d’après mes parents, mes grands-parents, etc. J’ai l’expérience vécue dans ma famille, avec mon frère et mes deux fils dans le système de santé mentale. J’été vraiment motivé de me joindre au Conseil d’administration de Royal, le seul hôpital spécialisé pour la santé mentale ici à Ottawa, afin de transmettre mes expériences vécues et même les douleurs de ma famille dans des solutions pour des autres familles. Mes deux fils sont autistes mais, on ne savait pas tout de suite. C’était seulement pendant l’adolescence et donc, ça m’a ouvert les yeux aux défis surtout pour mon fils qu’était, à ce temps-ci, 17 ans.

Dans le système de santé mentale, dans la transition d’adolescence à l’adulte, on perd beaucoup de gens. Donc ça, et c’est aussi la situation pour la plupart de la population dans le système post-secondaire. Ça m’a vraiment renforcé ma passion pour être certain qu’on a des services intégrés au système au post-secondaire pour soutenir la santé mentale de nos étudiants. De plus, on doit investir dans les services, dans le soutien, et en avoir les partenariats dans nos villes entre les services et même aussi ça m’a renforcé l’importance d’être certain qu’on a du bon accès pour des personnes qui sont neurodivergents qui ont beaucoup à offrir. Il y a des bons modèles au Algonquin College et à L’Université Carleton, par exemple, qui ont vraiment le soutien pour les étudiants comme mes fils. Donc, ça me passionne et je vais absolument continuer à avoir cette passion au sein de mon travail ici. Je continue à servir comme bénévole à ces sommes. Ça me nourrit comme citoyen. 

 

Amélie Cantin :  

Oui, on sent votre passion pour le sujet. C’est un sujet tellement important sur nos campus en ce moment, donc on a vraiment hâte de voir ce que tu vas apporter dans cette filière là pour la prochaine question. Quelle est votre vision de l’avenir du réseau des collèges et instituts du Canada et comment comptez-vous contribuer à sa croissance et à son succès en tant que 8e présidente-directrice générale de CICan ? 

 

Pari Johnston :  

Je dirais que ça va être des semaines et des mois en mode écoute, d’aller voir nos membres, de visiter les campus, poser des questions : qu’est-ce qui fonctionne bien ? ou qu’est-ce qui doit être amélioré ? Quelles sont vos aspirations, vos forces, vos défis et quel est le rôle pour notre association nationale à ce moment, de livrer la valeur pour nos membres ?

Une de mes premières priorités, c’est vraiment d’engager avec nos membres, notre Conseil d’administration, et nos partenaires pour écouter et pour m’aider à voir les tendances, les pressions, les opportunités. On est dans un paysage très changeant, très volatil en ce moment et je pense que les collèges, avec leurs habiletés d’être très flexible et responsive, on des bonnes opportunités de mieux livrer la valeur comme, je disais tout à l’heure, dans les stratégies industrielles des provinces et de notre pays, dans des secteurs comme le bio fabrication, le secteur des minéraux, critiques pour la croissance verte du Canada. Donc, je suis intéressée de mieux intégrer les forces et les capacités de notre collège dans l’écosystème de recherche et innovation ici au Canada. Comme je disais aussi, je pense qu’il faut continuer et travailler même plus en profondeur pour avancer les nos priorités sur la réconciliation, pour avancer notre travail avec nos partenariats et les établissements qui servent les communautés autochtones qu’on répond à leurs besoins, leurs priorités. On a une responsabilité, à mon avis profond, de servir et d’amplifier les aspirations de nos communautés Premières Nations, Métis, inuits de la part des collèges. 

 

Amélie Cantin :  

On a hâte de te suivre dans ce parcours-là. Pour conclure la première partie de notre discussion, quels messages ou conseils souhaiteriez-vous partager avec nos membres, nos partenaires et à l’ensemble de la communauté des collèges et instituts alors que vous entrez en fonction ? 

 

Pari Johnston :  

Venir me voir. Invitez-moi à vos campus, à vos événements. Je suis vraiment à l’écoute. Je suis vraiment intéressé à mieux m’exposer et mieux apprendre ce qui se passe sur les campus. Quels sont les solutions qu’on peut apporter ? Comment pouvons-nous être des bâtisseurs de solutions ? Donc ça c’est le message que je suis vraiment prête à engager pour voir comment on peut mieux cibler nos forces et cibler nos capacités aux grands défis qui font face à nos communautés et notre pays. 

 

Amélie Cantin :  

Merci beaucoup Pari. On apprécie beaucoup votre honnêteté et votre enthousiasme. Ça suscite un sentiment d’inspiration pour le travail qui s’en vient qu’on va accomplir ensemble. Maintenant, pour apporter une petite touche de légèreté et spontanéité à notre conversation, si vous êtes partante, je vais vous poser une série de questions en rafale.  

 

Pari Johnston : 

Ok. Oui, je suis partante. Allons y! 

 

Amélie Cantin : 

Quelle est la première chose que vous voulez accomplir à CICan ? 

 

Pari Johnston :  

De connaître mon équipe. J’aimerais vraiment les connaître comme personne, ce qu’ils font et comment je peux soutenir leur travail ici. Donc, connexion avec l’équipe. 

 

Amélie Cantin : 

Avez-vous des talents cachés? 

 

Pari Johnston :  

J’adore le jardinage. J’ai peut-être un petit pouce vert. Je ne sais pas si c’est un talent, mais c’est une passion. 

 

Amélie Cantin :  

Ça compte. En trois mots ou moins, décrivez votre style de leadership. 

 

Pari Johnston :  

C’est un style de leadership collaboratif, ouverte et je dirais empathique. Je me sens sur les peuples et les humains avec qui je travaille. Nous sommes des personnes d’abord et des employés ensuite. 

 

Amélie Cantin :  

Excellent. Êtes-vous plutôt une personne matinale ou un oiseau de nuit? 

 

Pari Johnston :  

Un oiseau de nuit, malheureusement. Je m’entraîne le matin pour faire des exercices physiques et, normalement, j’ai une tasse de café dans la main parce que je ne suis pas vraiment éveillé. 

 

Amélie Cantin :  

Quelle est la leçon la plus importante que vous avez apprise au cours de votre carrière ? 

 

Pari Johnston :  

Quand on me propose un défi ou une opportunité de dire oui. Je pense que ce n’est pas toujours facile pour des femmes, surtout. On se doute. On dit, est ce que je suis prête ? Est-ce que je suis assez préparé ? La leçon que j’ai prise c’est que, quand j’ai dit oui, je peux le faire, C’était un bon résultat. Donc, j’encourage toujours les jeunes femmes, les femmes avec qui je travaille, de se voir comme tout le monde nous voit. 

 

Amélie Cantin :  

Avez-vous des livres en cours de lecture ? Et si oui, lesquels ?  

 

Pari Johnston :  

Oui. J’adore lire depuis que j’étais toute jeune. Je suis dans un club avec des amis et on vient de terminer le livre de Barbara Kingsolver qui s’appelle Demon Copperhead et c’était absolument magnifique. C’était les derniers que j’ai lu que c’était super ! 

 

Amélie Cantin :  

Quel est le meilleur conseil que vous avez jamais eu reçu?  

 

Pari Johnston :  

Le meilleur conseil que j’ai jamais eu ou reçu était d’une personne, un grand mentor de moi qui m’a parlé de mes forces. Elle m’a dit que tu dois mieux apprendre la compétence de la pause. C’est à dire, on a beaucoup d’énergie, on répond à des situations, mais il faut prendre le temps de posé, de réfléchir, et respirer. Je n’ai jamais pensé ça comme d’une compétence et ça m’a servi beaucoup. 

 

Amélie Cantin :  

Si vous aviez une baguette magique, quelle serait la chose à changer dans le réseau des collèges et instituts ? 

 

Pari Johnston :  

Il s’agirait plutôt d’aider que de changer. On a besoin d’investissement durable, surtout dans quelques provinces. On voit ce qui se passe et les défis pour les établissements qui ne sont pas bien fondés. Donc, si j’avais tout le pouvoir du monde de faire quelque chose comme ça, je pense que c’est vraiment d’être certain que notre système et bien fondé et que les investissements sont durables parce qu’ils sont vraiment la force transformatrice de notre économie et notre société, et ils doivent être vus comme un investissement clé pour notre politique publique. 

 

Amélie Cantin :  

Et la dernière question. Qu’est-ce qui vous stimule le plus dans l’avenir de l’enseignement postsecondaire ? 

 

Pari Johnston :  

Ce qui me stimule c’est vraiment tout ce qui se passe sur les campus d’une façon dynamique et innovateur. J’ai hâte à visiter tous les campus pour apprendre tous leurs programmes innovateurs. Par exemple, j’été à Bow Vallery College à Calgary, il y a quelques semaines, et ils m’ont montré leurs salles de simulation pour les étudiants qui allaient être des infirmiers et infirmières et c’était incroyable. Donc, pour moi, ce qui me motive, c’est d’apprendre ce qu’ils font nos membres et d’avoir une narrative d’impact et d’être dans une position de parler de cet impact aux députés, aux décideurs et à ceux qui font les investissements ici à Ottawa. 

 

Amélie Cantin :  

Magnifique. Merci beaucoup Pari de vous être prêté au jeu. C’est ainsi que se termine notre rencontre d’aujourd’hui. Avant de partir, je vous donne le mot de la fin. Y as-tu une dernière pensée ou un dernier message que vous vouliez partager ? 

 

Pari Johnston :  

Merci Amélie, c’était du fun pour moi aussi. Je dirais tout simplement ce que j’ai dit au début, c’est que je suis vraiment à l’écoute. J’espère que j’aurai beaucoup d’invitations de partenaires et de nos membres de venir les voir. Donc appelle moi. Venez me voir ici à Ottawa, invitez-moi de venir au campus. Ça va être ma priorité pour ma première année. 

 

Amélie Cantin : 

Merci beaucoup, Pari !

Ce fut un réel plaisir de se plonger dans votre impressionnant parcours. Merci pour votre temps et votre ouverture d’esprit. Votre gout pour l’innovation, la défense des intérêts de la collectivité et pour un leadership transformateur ouvre véritablement la voie à un chapitre passionnant de l’histoire de CICan.  

Merci à nos auditrices et auditeurs d’avoir été parmi nous. Nous espérons que vous avez apprécié apprendre à mieux connaître notre nouvelle présidente-directrice générale. Restez à l’affût pour découvrir avec nous les nouvelles initiatives et nouveautés qu’apportera Pari à notre organisation.  

D’ici là, prenez soin de vous et restez inspirés à construire un avenir meilleur pour les individus et nos collectivités.

À bientôt !